Place à la relève! – Jérémy Gelb (INRS)

Cette thèse se penche sur la multi-exposition des cyclistes aux pollutions atmosphérique et sonore. Elle permettra de mieux comprendre les facteurs de l’environnement urbain contribuant à la surexposition des cyclistes. Ces informations pourront autant être utiles à des décideurs planifiant de futures infrastructures cyclables, qu’à chaque cycliste cherchant à favoriser sa santé et sa sécurité.

Place à la relève! Steffen Lajoie (Université de Montréal)

En Colombie, comme dans plusieurs pays du Sud global, la vie publique et politique de ces quartiers est marquée par la criminalité et la violence. Au vu de ces problèmes infrastructurels, économiques et sociopolitiques préexistants, comment ces milieux font-ils face aux défis et risques supplémentaires que posent les changements climatiques? Ce projet de recherche explore cette question avec pour objectif d’intégrer les questions de justice sociale à la pratique des urbanistes, soit d’ancrer localement leurs réponses à des risques changeants et imprévisibles.

Place à la relève! – Vincent Jarry (INRS)

Selon certaines études, au-delà de la quantité de voies cyclables, plusieurs éléments de qualité influencent grandement la décision d’utiliser un vélo pour se déplacer en ville. Cependant, à l’heure actuelle, peu d’outils sont disponibles pour évaluer cette qualité, qui varie probablement beaucoup d’un type de voie cyclable à l’autre. Ainsi, cette recherche s’attardera à évaluer la qualité des voies cyclables de Montréal, Laval et Longueuil selon trois dimensions clés : l’exposition aux polluants, l’état de la chaussée et la sécurité des déplacements.

Place à la relève! Simon Hamelin-Pratte (UQAM)

Malheureusement, nos recherches montrent que l’instauration du tarif étudiant et ses bonifications successives à travers le temps se sont presque toujours soldées par des pertes de recettes tarifaires, compensées par des hausses tarifaires considérables pour tous les autres usagers du TC.

Place à la relève! – Julie Hagan (Université Laval)

Nous avons donc voulu mieux comprendre dans quelle mesure l’engagement des villes envers les enjeux environnementaux globaux – en l’occurrence le climat et la biodiversité – influence la place accordée à l’expérience des citoyens et à la participation démocratique dans le gouvernance de l’environnement.