Protégé : La petite République de Saillans : Une expérience de démocratique participative
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Cet ouvrage collectif propose un croisement entre les thèmes de la métropolisation et de la mobilité pour présenter le constat d’une dynamisation des structures territoriales depuis des décennies, notamment par les champs des pratiques spatiales, des représentations territoriales et de la gouvernance métropolitaine.
Les chercheur·e·s s’appuient sur le postulat selon lequel la mobilité est le facteur clé pour analyser un territoire inachevé comme celui des métropoles. Les auteur·e·s conçoivent la métropole d’une part, comme le produit des pratiques de mobilité des personnes inscrites sur des territoires organisés par des axes de mobilité et de diffusion, et, d’autre part, comme un assemblage d’espaces d’appropriation et d’interactions sociales relativement cohérent où des échanges politiques prennent place.
La planification territoriale, la participation publique et la gouvernance : trois notions centrales de l’aménagement du territoire qui se trouvent au cœur de cet ouvrage collectif. Il y est question, notamment, des processus de planification dans un contexte de gouvernance métropolitaine, de la façon dont se prennent les décisions et de la place de la participation dans ces processus.
Ce numéro thématique de la revue Espaces et sociétés concerne la décentralisation et la réorganisation territoriale, un phénomène fort présent dans l’actualité. Si la décentralisation n’est pas une considération nouvelle, les États sont de nos jours invités à mettre en place une meilleure organisation politique et l’action publique doit maintenant être territorialisée.
Comprendre la ville et le développement urbain nécessite de comprendre l’expansion suburbaine actuellement à l’œuvre. En effet, le territoire de la banlieue connait des changements profonds (étalement urbain, diversification et mutation des formes) qui viennent modifier le rapport entre centre et périphérie, mettant en question certaines des théories propres aux études urbaines.
En écho au projet de Plan régional de développement durable, à la mise à jour du Plan régional pour l’innovation et aux élections législatives belges du 25 mai 2014, ce livre met en évidence les enjeux du développement et de l’aménagement des centralités bruxelloises face à la production d’un nouveau discours.
Avec cette publication, Harold Bérubé met en perspective le retour à l’autonomie de 15 municipalités suburbaines de Montréal lors des défusions de 2006, à partir d’un regard historique posé sur trois d’entre elles, Westmount, Pointe-Claire et Mont-Royal. Il s’intéresse ainsi aux arguments identitaires mis de l’avant lors des débats sur la réorganisation municipale, démontrant que le caractère distinct de ces municipalités suburbaines est moins une distinction ethnolinguistique qu’une distinction sociopolitique.
Sous la direction de Christian Lefèbvre, Nathalie Roseau et Tommaso Vitale, ce livre a comme principal objectif de décrire et expliquer les phénomènes d’urbanisation et de métropolisation, ainsi que les processus qui y sont associés – force centrifuge et centripète, transformation des infrastructures, inégalités socioterritoriales, pour en nommer quelques-uns. À travers cela, il s’agit de comprendre quelles sont les conditions (et les obstacles) de la gouvernabilité des espaces métropolitains.
Ce livre propose des hypothèses d’interprétation des effets des conflits de proximité. Ceux-ci peuvent être analysés comme des processus de territorialisation, comme des modalités d’actualisation locale du droit ou de production d’un espace public (politique) intermédiaire et comme des transactions sociales. Il s’agit donc de considérer les conflits de proximité dans leur dimension d’action collective et d’interroger l’apparent paradoxe entre renforcement du cadre juridique urbain et environnemental, approfondissement des procédures de participation et multiplication des conflits.
L’ouvrage s’attarde surtout aux questions de conflictualités émergentes par rapport au partage de plus en plus difficile, ou au non-partage, de la ressource. Existe-t-il une crise de l’eau? Oui, selon les auteurs. L’eau pourrait-elle devenir la cause de conflits armés?
Campée dans le champ de la sociologie politique, cette publication par Hudon et Poirier (2011) propose « une nouvelle tentative de penser le sens et la portée de la politique ». Les auteurs s’intéressent ainsi aux façons d’aborder la réalité politique et d’étudier les phénomènes associés; s’adressant autant aux chercheurs, étudiants ou citoyens.
Depuis les années 1960, on remarque que l’économie de marché montre des signes d’essoufflement, voire qu’elle enchaîne les échecs, et ce à l’échelle planétaire. Certaines pratiques de production et de consommation sont devenues des enjeux d’envergure.